Mon cousin
par Pierre Vassiliu
lyricscopy.com
{Parlé}
Bon! Bé vous v´nez d´entendre maintenant ma cousine, voici la 2° version, la musique est la même, mais le texte est bien pire...
Voici : mon cousin
Connaissez-vous mon cousin?
Celui qui est natif d´Anzin
Paraît qu´il est bête comme ses pieds
Mais qu´est-ce qu´il fait bien les pompons!
Il est peut-être un peu flemmard
Mais c´est un drôle de zigomar.
Avec un engin pareil
Il faut avoir un appareil
Qui ne fonctionne qu´à la vapeur
A raison de dix nœuds à l´heure.
J´vous dirais bien où il habite
Il pourrait vous montrer sa boîte
Mais il n´y a plus grand chose dedans
Depuis son dernier accident.
C´est un beau jour à l´usine
Qu´il a perdu ses p´tites cousines
En se baissant pour un réglage
Elles sont parties dans l´engrenage.
J´m´en souviens il a dit "Ouille!"
Où est passée ma paire de gants?
Puis il a cherché dans ses fouilles
Y avait plus rien évidemment.
Et depuis ce jour maudit
Ou du moins à ce qu´on m´a dit
Paraît qu´il fabrique des accus
Et qu´il les charge avec son cousin.
N´importe quel boulot il s´en fiche
Pourvu qu´il en ait plein les mains
Pompiste ou bien haltérophile
Tout ce qu´il veut c´est qu´on l´engage.
Faut aussi que vous sachiez
Qu´à ce propos il m´a fait peur
Le jour où dans le vestibule
Il a voulu que je l´entende.
Moi qui suis pour la paix des races
Cette fois j´étais bien coincé
Il a donc fallu que j´y passe
D´ailleurs on a recommencé.
Mais ce n´était pas par vice
Dans le fond c´était pour l´aider
J´ai voulu lui rendre service
Car on n´est jamais trop aidé.
Maintenant j´en suis convaincu
D´ailleurs ça rime avec mon cœur
Une fois ses préjugés vaincus
On ne connaît plus son bonheur.
Bon! Bé vous v´nez d´entendre maintenant ma cousine, voici la 2° version, la musique est la même, mais le texte est bien pire...
Voici : mon cousin
Connaissez-vous mon cousin?
Celui qui est natif d´Anzin
Paraît qu´il est bête comme ses pieds
Mais qu´est-ce qu´il fait bien les pompons!
Il est peut-être un peu flemmard
Mais c´est un drôle de zigomar.
Avec un engin pareil
Il faut avoir un appareil
Qui ne fonctionne qu´à la vapeur
A raison de dix nœuds à l´heure.
J´vous dirais bien où il habite
Il pourrait vous montrer sa boîte
Mais il n´y a plus grand chose dedans
Depuis son dernier accident.
C´est un beau jour à l´usine
Qu´il a perdu ses p´tites cousines
En se baissant pour un réglage
Elles sont parties dans l´engrenage.
J´m´en souviens il a dit "Ouille!"
Où est passée ma paire de gants?
Puis il a cherché dans ses fouilles
Y avait plus rien évidemment.
Et depuis ce jour maudit
Ou du moins à ce qu´on m´a dit
Paraît qu´il fabrique des accus
Et qu´il les charge avec son cousin.
N´importe quel boulot il s´en fiche
Pourvu qu´il en ait plein les mains
Pompiste ou bien haltérophile
Tout ce qu´il veut c´est qu´on l´engage.
Faut aussi que vous sachiez
Qu´à ce propos il m´a fait peur
Le jour où dans le vestibule
Il a voulu que je l´entende.
Moi qui suis pour la paix des races
Cette fois j´étais bien coincé
Il a donc fallu que j´y passe
D´ailleurs on a recommencé.
Mais ce n´était pas par vice
Dans le fond c´était pour l´aider
J´ai voulu lui rendre service
Car on n´est jamais trop aidé.
Maintenant j´en suis convaincu
D´ailleurs ça rime avec mon cœur
Une fois ses préjugés vaincus
On ne connaît plus son bonheur.