Ici
par Psy 4 De La Rime
lyricscopy.com
Enfants de la lune, on vient d´là où y a trop d´brume..
Nos rêves se brisent...là où la route est floue
On grandi à contre coeur, là où on s´nourrit de rancune
Bienvenue....là où l´espoir s´consume
J´viens d´là où les cafards ont des buildings
Là où Otis pousse ma mère à faire du body building
Là où les petits n´vont plus en classe, passent leur temps à
rouler
Et avance avec un joint de culasse
La routine comme seul passe-temps
Là où les flics te passent les menottes à chaque fois qu´tu
tue l´temps
Là où on s´sert la ceinture pour être bien sapé
Là où on préfére être ze pequeno que buscapé
Là où les ronaldihno s´blessent avant d´être pro
Là où la colo s´appelle mandat de dépot
Là où l´alcool sert à s´noyer
Là où on croit que l´amour n´est qu´un mouvement de poignet
Là où la guigne t´fais la bise en t´faisant les poches
Là où pour s´enterrer nos dualités servent de pioches
Chez nous le sourire est mal agrippé à nos lèvres
Et nos virées en motos s´transforment en cortège funêbre
Sueurs froides, c´est parce que les gens ont changé qu´on
s´parle plus
Qu´on communique avec tant de choses sauf avec la bouche
Le disque, la seule langue en quoi j´pourrais vous parler
Sans vice, pin up, bien sûr sans pourparlé
On est la couche, qui sépare la maigreur de l´obésité
Car on est entre Zola, et on sait pas ce qu´on veut
Etre un vaillant ici ou de l´autre côté
Les titulaires de la bétise sont mis en doute
{Refrain, x2}
Tu sais, ici les jeunes tombent en même temps que la nuit
Si nos histoires t´ennuient, tant pis
On fait que dire ce qu´on vit
Tu crois savoir comment c´est dur ici
Si tu savais vraiment ignorant ce qu´on vit
L´amour nous course, sans prendre de caddie
Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit
J´ai pourtant crié tout haut, ce que certains pensaient tout
bas
Tu sais, dure est la vision de voir comme un oiseau d´en bas
Dur d´planer sans l´effet dl´herbe et l´shit
Tout comme mes gars amateurs d´grosses caisses et de parties
de chatte
Malgrés mes défauts, j´reste celui qui défie les défauts de
la vie
J´te parle du système et de ceux qui l´ennuie
J´te parle des maillons faibles qui haussent le ton
Avance avec le temps comme ces feuilles mortes où se dirige
le vent
J´remercie le bon Dieu d´être encore vivant
Malgrés des coups d´passé chers qui allaient me coûter la vie
médisant
J´suis de ceux, qui dérèglent le systeme H-24
Qui hachent les mots d´la politesse qui recrache et qui
remplatre
De cette génération décidemment non clean
Fan de fight club chemise seulement quand les billets
s´alignent
Au fait j´souligne l´amertume que j´ai quand j´vois mes
parents
Car s´sont les seuls devant lesquels j´m´aligne
Ecoute, j´vais pas m´confesser, car tu pourrais pas
m´répondre
Autour de moi t´es juste la seule fréquence qui peut capter
mes ondes
Veille sur mes gars, en attendant qu´je sorte
Ces mêmes Ruff Riders pilote d´R6 et RS4
Car j´supporte plus...l´envers du décor
Celle qui ressemble à ce bruit en fond qui m´stresse à cause
du savon
La vie un coup d´sabre, où on sent pas l´mal, on le subit
Et moi devant ma fenêtre j´me tais et je t´apprécies
{au Refrain, x2}
La plume écrit moi j´percute le temps après
C´est un goût amer mes vers pas vrai c´est flou comme la
brume
La brune, lâche moi les burnes, j´l´ai à l´envers les tunes
Améliore rien car je suis lésé
Laissé à l´abandon par le courage
Mais j´suis un homme il faut que je me relève sans baton,
sans hameçon
Sans penser qu´autrui à la rage
Donc passons, les ilotages sont plus sujets premiers
Donc pensons, au monde qu´on va laisser aux bambins
"Tigo"; la chance veut pas lacher d´sourire
Rien d´nous broute depuis l´époque de la petite souris
Ici quand les dents tombent c´est que tu es conscient qui
faut en avoir bon sous le lit
Ma mère combat mes flammes avec ces larmes
Mon fils avec l´urine car c´est le seul mec qui m´pisse
dessus
Car c´est le seul mec qui prend le dessus
Le seul qui me calme bonsoir la jeunesse de France
J´ai la parole lourde et simple malheur dans la bouche,
la triste réalité j´ai là ce qui te touches, la mélodie du
drame,
le chant d´l´époque d´la connerie humaine
Ces blocs je cane
Comme nos mères qui ne font que mouiller leurs pommettes
car la lettre, veux du bled "des blometre"
Faut que j´collecte 8 millimètres qui me mènent à mon maitre
Le seul à pouvoir soigner ce mal être qu´on se relèvent
colègue
Qu´on lèguent à nos fils la vision d´un homme honnête
Qu´il n´est pas à le voir du haut d´une fenêtre
Se mettre, à semer des roses, au lieu de chrysanthèmes
Car sous les larmes, l´espoir est une flamme qui peut
s´éteindre
{au Refrain, x3}
Nos rêves se brisent...là où la route est floue
On grandi à contre coeur, là où on s´nourrit de rancune
Bienvenue....là où l´espoir s´consume
J´viens d´là où les cafards ont des buildings
Là où Otis pousse ma mère à faire du body building
Là où les petits n´vont plus en classe, passent leur temps à
rouler
Et avance avec un joint de culasse
La routine comme seul passe-temps
Là où les flics te passent les menottes à chaque fois qu´tu
tue l´temps
Là où on s´sert la ceinture pour être bien sapé
Là où on préfére être ze pequeno que buscapé
Là où les ronaldihno s´blessent avant d´être pro
Là où la colo s´appelle mandat de dépot
Là où l´alcool sert à s´noyer
Là où on croit que l´amour n´est qu´un mouvement de poignet
Là où la guigne t´fais la bise en t´faisant les poches
Là où pour s´enterrer nos dualités servent de pioches
Chez nous le sourire est mal agrippé à nos lèvres
Et nos virées en motos s´transforment en cortège funêbre
Sueurs froides, c´est parce que les gens ont changé qu´on
s´parle plus
Qu´on communique avec tant de choses sauf avec la bouche
Le disque, la seule langue en quoi j´pourrais vous parler
Sans vice, pin up, bien sûr sans pourparlé
On est la couche, qui sépare la maigreur de l´obésité
Car on est entre Zola, et on sait pas ce qu´on veut
Etre un vaillant ici ou de l´autre côté
Les titulaires de la bétise sont mis en doute
{Refrain, x2}
Tu sais, ici les jeunes tombent en même temps que la nuit
Si nos histoires t´ennuient, tant pis
On fait que dire ce qu´on vit
Tu crois savoir comment c´est dur ici
Si tu savais vraiment ignorant ce qu´on vit
L´amour nous course, sans prendre de caddie
Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit
J´ai pourtant crié tout haut, ce que certains pensaient tout
bas
Tu sais, dure est la vision de voir comme un oiseau d´en bas
Dur d´planer sans l´effet dl´herbe et l´shit
Tout comme mes gars amateurs d´grosses caisses et de parties
de chatte
Malgrés mes défauts, j´reste celui qui défie les défauts de
la vie
J´te parle du système et de ceux qui l´ennuie
J´te parle des maillons faibles qui haussent le ton
Avance avec le temps comme ces feuilles mortes où se dirige
le vent
J´remercie le bon Dieu d´être encore vivant
Malgrés des coups d´passé chers qui allaient me coûter la vie
médisant
J´suis de ceux, qui dérèglent le systeme H-24
Qui hachent les mots d´la politesse qui recrache et qui
remplatre
De cette génération décidemment non clean
Fan de fight club chemise seulement quand les billets
s´alignent
Au fait j´souligne l´amertume que j´ai quand j´vois mes
parents
Car s´sont les seuls devant lesquels j´m´aligne
Ecoute, j´vais pas m´confesser, car tu pourrais pas
m´répondre
Autour de moi t´es juste la seule fréquence qui peut capter
mes ondes
Veille sur mes gars, en attendant qu´je sorte
Ces mêmes Ruff Riders pilote d´R6 et RS4
Car j´supporte plus...l´envers du décor
Celle qui ressemble à ce bruit en fond qui m´stresse à cause
du savon
La vie un coup d´sabre, où on sent pas l´mal, on le subit
Et moi devant ma fenêtre j´me tais et je t´apprécies
{au Refrain, x2}
La plume écrit moi j´percute le temps après
C´est un goût amer mes vers pas vrai c´est flou comme la
brume
La brune, lâche moi les burnes, j´l´ai à l´envers les tunes
Améliore rien car je suis lésé
Laissé à l´abandon par le courage
Mais j´suis un homme il faut que je me relève sans baton,
sans hameçon
Sans penser qu´autrui à la rage
Donc passons, les ilotages sont plus sujets premiers
Donc pensons, au monde qu´on va laisser aux bambins
"Tigo"; la chance veut pas lacher d´sourire
Rien d´nous broute depuis l´époque de la petite souris
Ici quand les dents tombent c´est que tu es conscient qui
faut en avoir bon sous le lit
Ma mère combat mes flammes avec ces larmes
Mon fils avec l´urine car c´est le seul mec qui m´pisse
dessus
Car c´est le seul mec qui prend le dessus
Le seul qui me calme bonsoir la jeunesse de France
J´ai la parole lourde et simple malheur dans la bouche,
la triste réalité j´ai là ce qui te touches, la mélodie du
drame,
le chant d´l´époque d´la connerie humaine
Ces blocs je cane
Comme nos mères qui ne font que mouiller leurs pommettes
car la lettre, veux du bled "des blometre"
Faut que j´collecte 8 millimètres qui me mènent à mon maitre
Le seul à pouvoir soigner ce mal être qu´on se relèvent
colègue
Qu´on lèguent à nos fils la vision d´un homme honnête
Qu´il n´est pas à le voir du haut d´une fenêtre
Se mettre, à semer des roses, au lieu de chrysanthèmes
Car sous les larmes, l´espoir est une flamme qui peut
s´éteindre
{au Refrain, x3}