L'étoile du nord
par Richard Desjardins
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Maintenant n´espère plus que l´espoir.
Là où tu vas les vents sont méchants.
La lumière y envoie ses flèches noires.
" Plus de chemin, il se fait en marchant. "
Là-bas on y parle irréel.
Quelle astronomie.
Cache tes lacs, ignore le ciel,
l´étoile du nord s´y est enlevé la vie.
Au revoir l´ami,
prend ce talisman.
Si mon cœur bat, c´est à cause de lui,
je t´en fais serment.
Ton flanc et gorge déployés
sous l´empire d´une étrange sentence,
une foudre étonnante rêve déjà
d´embraser la forêt de ton innocence.
Amers Manitobas!
Sous le blizzard de l´intolérence,
à genoux sur une plaine froide
à lui quêter du sens.
Si seul, si seul,
si seulement je savais t´aider,
un baume, un pansement au moins
pour cette lune qui saignera dans tes mains.
La terre a tremblé, tel était son souhait.
Tu ouvres les cieux et tu respires encore.
Cette poussière de lumière embaumant ta plaie,
c´est l´étoile du nord entrée dans ton corps.
Alleluia!
Toi l´homme vaillant,
t´es là toujours comme l´amour,
la vie t´a pris comme amant.
Ses lèvres s´ouvrent, ô quel fracas!
Lève, lève-toi.
Vas-y, vas-y
danser, danser, dans ses bras.
Là où tu vas les vents sont méchants.
La lumière y envoie ses flèches noires.
" Plus de chemin, il se fait en marchant. "
Là-bas on y parle irréel.
Quelle astronomie.
Cache tes lacs, ignore le ciel,
l´étoile du nord s´y est enlevé la vie.
Au revoir l´ami,
prend ce talisman.
Si mon cœur bat, c´est à cause de lui,
je t´en fais serment.
Ton flanc et gorge déployés
sous l´empire d´une étrange sentence,
une foudre étonnante rêve déjà
d´embraser la forêt de ton innocence.
Amers Manitobas!
Sous le blizzard de l´intolérence,
à genoux sur une plaine froide
à lui quêter du sens.
Si seul, si seul,
si seulement je savais t´aider,
un baume, un pansement au moins
pour cette lune qui saignera dans tes mains.
La terre a tremblé, tel était son souhait.
Tu ouvres les cieux et tu respires encore.
Cette poussière de lumière embaumant ta plaie,
c´est l´étoile du nord entrée dans ton corps.
Alleluia!
Toi l´homme vaillant,
t´es là toujours comme l´amour,
la vie t´a pris comme amant.
Ses lèvres s´ouvrent, ô quel fracas!
Lève, lève-toi.
Vas-y, vas-y
danser, danser, dans ses bras.