À la cambrousse
par Roger Riffard
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Le soleil semble
Pas bien costaud
V´là qu´ se rassemblent
Dans les hostos
Tous les microbes
Du mois d´octob´
Compte, bonhomme,
Sur tes dix doigts
Les jours qui rigolent
Et les jours qui merdoient
L´humble cortège
Des macchabées
Longe la berge
De la Rapée
Où, mains aux poches,
Rôde la cloche
Cloche qui souffle
Sur ses dix doigts
Point ne se destine
A tombe qui verdoie
Sus à mes bottes
Jésus Marie!
Car de la crotte
Du gai Paris
Vaille que vaille
Faut que j´ me taille
Paris, à tous
J´ lève mon doigt
Ma muse rustique
A la glèbe se doit
A la cambrousse
J´ m´en veux aller
Z´ouïr la douce
Chanson des blés
Changer mon luth
Pour une flûte
A mon aimée
Montrant du doigt
Mes troupeaux d´ vaches
De moutons et d´oies
Mes troupeaux d´ vaches
De moutons et d´oies
Pas bien costaud
V´là qu´ se rassemblent
Dans les hostos
Tous les microbes
Du mois d´octob´
Compte, bonhomme,
Sur tes dix doigts
Les jours qui rigolent
Et les jours qui merdoient
L´humble cortège
Des macchabées
Longe la berge
De la Rapée
Où, mains aux poches,
Rôde la cloche
Cloche qui souffle
Sur ses dix doigts
Point ne se destine
A tombe qui verdoie
Sus à mes bottes
Jésus Marie!
Car de la crotte
Du gai Paris
Vaille que vaille
Faut que j´ me taille
Paris, à tous
J´ lève mon doigt
Ma muse rustique
A la glèbe se doit
A la cambrousse
J´ m´en veux aller
Z´ouïr la douce
Chanson des blés
Changer mon luth
Pour une flûte
A mon aimée
Montrant du doigt
Mes troupeaux d´ vaches
De moutons et d´oies
Mes troupeaux d´ vaches
De moutons et d´oies