La grande classe
par Rohff
lyricscopy.com
Qui qui est dans la plazza?
Qué qué Passa?
Oulala, mais c´est quoi ca?
Sortez les calculettes c´est le son des gros chiffres, des grosses giffles
T´as les joues en sang tu comprends pas ce qu´il t´arrive
Je veux pas qu´on joue ensemble, associable comme mon fils
J´attends aucune reconnaissance du showbiz (aie aie aie)
Ton rap est trop peace, le mien sans pitié
J´ai mon plan, vois moi comme l´architecte qu´a construit ton quartier
Kamikaze comme les japs sur Pearl Harbor
Mon stylo s´affole comme les aiguilles de mon tableau de bord
J´ai poussé mon premier cri, en pleine lune sous l´equateur
Ma vengeance est fraichement sortie du congélateur
J´ai qu´un visage, plutot révélateur, j´ai beau etre fédérateur
Je peux pas aimer tout le monde j´ai qu´un coeur
Ils ont peur, je vais les traumatiser
Un loup dans une bergerie, quand je roule sur les Champs-Elysée
REFRAIN
Trop fiers, trop vrais, on est plus des chiens de la casse
Ni ton boul´ ni ton oseille ne peuvent atteindre la grande classe
Je suis en mode avec les re-frè (TLF), quand on arrive on prend toute la place
Qu´on soit libre ou au frais, on meurt et vit avec la grande classe (la cla-cla-classe)
Je suis un pilote de ligne de conduite
Ce qui est rare est cher donc leur musique devrait etre gratuite
Hermétique au star-system, j´ai les piles du rap-game
C´est le concentré des charactères des banlieues parisiennes
Scotché au pavé, on est fait pour taffer, tout raffler, te baffer et braver les obstacles
J´te tacle au coup, j´assure le spectacle
Ceux qui veulent clash sont fous, doivent fumer du crack
J´crache ma couleur dans ta radio comme dans une babtou
Pose mes boules sur la table, les trimballe partout
Je dis non a tout, je suis le berger de mes thunes
J´ai beau me brosser la langue, mon haleine sent le tube
Ces paroles sont fières de sortir de ma bouche
Comme une groupie de ma douche
ou un merco d´un camps de manouche
Les teubs changent de bouche pour l´ouverture
Tout le monde tire la couverture
Aucune somme aucun boul´ ne me perturbe
REFRAIN
J´ai pas changé, fuck ceux qui m´aiment pas
J´baisse pas mon froc mais le remonte jusqu´aux pecs comme Papa Wemba
Ils comprennent pas pourquoi j´suis sur de moi
Ils disent des choses sur moi, les gens comptent sur moi
et moi je prends sur moi
j´ai fait d´un squat là où personne ne m´attend
Ici ne rentrent que les thugs, loins des keufs qui veulent nous entendre
Mon univers n´est qu´un repère de vrais
Plus plus plus spontané qu´un tueur-né, dangereusement frais
Le plus titré le plus jalousé toujours posé
En train de bosser, pas le temps de causer ni de se reposer
mais disposé à t´exploser, son de névrosés, le plus diffusé, v´là les télés que j´ai refusé,
moins exposé. La gloire me court après et veut m´épouser
C´est pas l´année des moutons ni des mythos mais du Comoriano
Flow flow flow technicien comme Christiano
Mon son une catastrophe naturelle (Hous!), j´rappe au conditionnel (Hous!)
La liberté j´vais lui mettre, jusqu´au bout du tunnel. Housniiiiiiiiiiii
REFRAIN
Qué qué Passa?
Oulala, mais c´est quoi ca?
Sortez les calculettes c´est le son des gros chiffres, des grosses giffles
T´as les joues en sang tu comprends pas ce qu´il t´arrive
Je veux pas qu´on joue ensemble, associable comme mon fils
J´attends aucune reconnaissance du showbiz (aie aie aie)
Ton rap est trop peace, le mien sans pitié
J´ai mon plan, vois moi comme l´architecte qu´a construit ton quartier
Kamikaze comme les japs sur Pearl Harbor
Mon stylo s´affole comme les aiguilles de mon tableau de bord
J´ai poussé mon premier cri, en pleine lune sous l´equateur
Ma vengeance est fraichement sortie du congélateur
J´ai qu´un visage, plutot révélateur, j´ai beau etre fédérateur
Je peux pas aimer tout le monde j´ai qu´un coeur
Ils ont peur, je vais les traumatiser
Un loup dans une bergerie, quand je roule sur les Champs-Elysée
REFRAIN
Trop fiers, trop vrais, on est plus des chiens de la casse
Ni ton boul´ ni ton oseille ne peuvent atteindre la grande classe
Je suis en mode avec les re-frè (TLF), quand on arrive on prend toute la place
Qu´on soit libre ou au frais, on meurt et vit avec la grande classe (la cla-cla-classe)
Je suis un pilote de ligne de conduite
Ce qui est rare est cher donc leur musique devrait etre gratuite
Hermétique au star-system, j´ai les piles du rap-game
C´est le concentré des charactères des banlieues parisiennes
Scotché au pavé, on est fait pour taffer, tout raffler, te baffer et braver les obstacles
J´te tacle au coup, j´assure le spectacle
Ceux qui veulent clash sont fous, doivent fumer du crack
J´crache ma couleur dans ta radio comme dans une babtou
Pose mes boules sur la table, les trimballe partout
Je dis non a tout, je suis le berger de mes thunes
J´ai beau me brosser la langue, mon haleine sent le tube
Ces paroles sont fières de sortir de ma bouche
Comme une groupie de ma douche
ou un merco d´un camps de manouche
Les teubs changent de bouche pour l´ouverture
Tout le monde tire la couverture
Aucune somme aucun boul´ ne me perturbe
REFRAIN
J´ai pas changé, fuck ceux qui m´aiment pas
J´baisse pas mon froc mais le remonte jusqu´aux pecs comme Papa Wemba
Ils comprennent pas pourquoi j´suis sur de moi
Ils disent des choses sur moi, les gens comptent sur moi
et moi je prends sur moi
j´ai fait d´un squat là où personne ne m´attend
Ici ne rentrent que les thugs, loins des keufs qui veulent nous entendre
Mon univers n´est qu´un repère de vrais
Plus plus plus spontané qu´un tueur-né, dangereusement frais
Le plus titré le plus jalousé toujours posé
En train de bosser, pas le temps de causer ni de se reposer
mais disposé à t´exploser, son de névrosés, le plus diffusé, v´là les télés que j´ai refusé,
moins exposé. La gloire me court après et veut m´épouser
C´est pas l´année des moutons ni des mythos mais du Comoriano
Flow flow flow technicien comme Christiano
Mon son une catastrophe naturelle (Hous!), j´rappe au conditionnel (Hous!)
La liberté j´vais lui mettre, jusqu´au bout du tunnel. Housniiiiiiiiiiii
REFRAIN