Je garde espoir
par SELFA
lyricscopy.com
Le rap français me donne une place,
Quoi qu´il arrive je reste de glace,
Je n´ai pourtant pas quitté mes traces,
Je veux qu´on se souvienne de mon blase,
L´histoire débute à seulement 13 balais,
Je ne vois pas ma tête en haut de l´affiche mais je me vois pas les coller,
J´avais la fleme en écoutant la lettre de Churrican,
En me disait si j´étais lui j´y mettrais quoi dans la mienne,
L´inspiration venait comme une gova vider de son essence,
Et j´écrivais mes phrases dont moi seul connaissais le sens,
C´était ma renaissance, celle d´un môme devenu adolescent,
Mais c´est surtout lassant de rapper sur le peu d´expérience,
Il a donc fallut que je pousse avec persévérance,
Et surtout quoi qu´il arrive que je fasse preuve de patience,
Sans négligence, les jours passent et je vois les conséquences,
Mais si ça continue j´y laisserais passer ma chance,
Mais l´innocence d´un gosse lier à si peu de connaissance,
L´oblige à fuir son nid, combler l´absence d´indépendance,
Alors comme beaucoup d´autres,
Ma quête de phases, commença très tôt,
Dans les halls, les chambres des sosses des bancs et des préaux,
Les grands me disaient : « petit, tu veux devenir artiste? »
Je leur ai dis : « bah ouais, je veux mes sons sur ta playlist! »
« Ok, soit sur de toi, bouillant, avec le regard froid »
« Scredi, solo et du son lourd comme la tatepa »
T´inquiète, 6 ans après, voici ma progéniture,
Et dis moi après tout ça, si j´honore bien les mecs qui dure,
Refrain :
Je garde espoir car mes lyrics sont pleins d´histoires,
Et distant sont ennemis car je vis le soir,
Je garde espoir qu´un de mes sons sort du noir,
Et voit le jour comme un son d´ol dirty bastar,
Je garde espoir car mes sosses se couche tard,
Ne ferme les yeux qu´à l´heure du coq mais ne couche jamais dehors,
Je garde espoir pour tous ces halls du pont de sèvres ou square,
Redorer les mecs en or et faire un concert dont on se souviendra encore...
Ce qui est enfoui en soi, c´est de se faire un nom,
Une renommée, un truc de ouf qui t´amènerai à sortir de l´ombre,
Briller comme certaines étoiles un soir de nuit,
Une sorte de guide éternel, naturel, claire et précis,
Briller comme l´on fait certains des hommes ici bas,
Pas de crier, certains d´entres eux n´ont pas à le faire ici bas,
Cette vie nous confronte à quelques situations instables,
Mais notre moral se relève grâce à une joie, un repère stable,
On est né inné ou naît pour la plupart sans talents quelconques,
Sans réél but dans la vie, sans projet quel con,
Mais si je suis al aujourd´hui parmi vous c´est grâce à Dieu,
Apophis et moi près a vous pondre un bête de truc dangereux,
Voilà pourquoi je veux briller, pas pour crier, jusqu´à la mort je suis prêt à trimer,
pas frimer, rester zen, un mec comme moi ça cherche à prier pour trouver sa voie la semer,
Saches le je suis des tiens il te suffit de m´écouter
Quoi qu´il arrive je reste de glace,
Je n´ai pourtant pas quitté mes traces,
Je veux qu´on se souvienne de mon blase,
L´histoire débute à seulement 13 balais,
Je ne vois pas ma tête en haut de l´affiche mais je me vois pas les coller,
J´avais la fleme en écoutant la lettre de Churrican,
En me disait si j´étais lui j´y mettrais quoi dans la mienne,
L´inspiration venait comme une gova vider de son essence,
Et j´écrivais mes phrases dont moi seul connaissais le sens,
C´était ma renaissance, celle d´un môme devenu adolescent,
Mais c´est surtout lassant de rapper sur le peu d´expérience,
Il a donc fallut que je pousse avec persévérance,
Et surtout quoi qu´il arrive que je fasse preuve de patience,
Sans négligence, les jours passent et je vois les conséquences,
Mais si ça continue j´y laisserais passer ma chance,
Mais l´innocence d´un gosse lier à si peu de connaissance,
L´oblige à fuir son nid, combler l´absence d´indépendance,
Alors comme beaucoup d´autres,
Ma quête de phases, commença très tôt,
Dans les halls, les chambres des sosses des bancs et des préaux,
Les grands me disaient : « petit, tu veux devenir artiste? »
Je leur ai dis : « bah ouais, je veux mes sons sur ta playlist! »
« Ok, soit sur de toi, bouillant, avec le regard froid »
« Scredi, solo et du son lourd comme la tatepa »
T´inquiète, 6 ans après, voici ma progéniture,
Et dis moi après tout ça, si j´honore bien les mecs qui dure,
Refrain :
Je garde espoir car mes lyrics sont pleins d´histoires,
Et distant sont ennemis car je vis le soir,
Je garde espoir qu´un de mes sons sort du noir,
Et voit le jour comme un son d´ol dirty bastar,
Je garde espoir car mes sosses se couche tard,
Ne ferme les yeux qu´à l´heure du coq mais ne couche jamais dehors,
Je garde espoir pour tous ces halls du pont de sèvres ou square,
Redorer les mecs en or et faire un concert dont on se souviendra encore...
Ce qui est enfoui en soi, c´est de se faire un nom,
Une renommée, un truc de ouf qui t´amènerai à sortir de l´ombre,
Briller comme certaines étoiles un soir de nuit,
Une sorte de guide éternel, naturel, claire et précis,
Briller comme l´on fait certains des hommes ici bas,
Pas de crier, certains d´entres eux n´ont pas à le faire ici bas,
Cette vie nous confronte à quelques situations instables,
Mais notre moral se relève grâce à une joie, un repère stable,
On est né inné ou naît pour la plupart sans talents quelconques,
Sans réél but dans la vie, sans projet quel con,
Mais si je suis al aujourd´hui parmi vous c´est grâce à Dieu,
Apophis et moi près a vous pondre un bête de truc dangereux,
Voilà pourquoi je veux briller, pas pour crier, jusqu´à la mort je suis prêt à trimer,
pas frimer, rester zen, un mec comme moi ça cherche à prier pour trouver sa voie la semer,
Saches le je suis des tiens il te suffit de m´écouter
