Debout les hommes, au lit les femmes
par Serge Prisset
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Debout les hommes, c´est le chant du matelot
Au lit les femmes, d´Amsterdam à Saint Malo
Dans une cave enfumée de Liverpool
Le piano joue des shimmys
Et la plupart des marins qui se soûlent
Chantent les airs avec lui
Un œil qui louche sur une bouteille
Quand l´autre est au paradis
Mais tout au fond de la taverne
Une voix rugit
Quelqu´un éteint les lanternes
On n´entend plus qu´un cri
{Refrain:}
Debout les hommes, c´est le chant du matelot
Au lit les femmes, d´Amsterdam à Saint Malo
Debout les hommes, quand arrive un bateau
Sur les quais, nos femmes et nos filles ont un air de Paimpolaises
Et dans les tripots de la ville, on boit à l´amour, à la mer
Dans les vapeurs, on voit monter sur scène
Une grande blonde aux yeux gris
Elle va chanter "Bonsoir Lili Marlène"
Comme chaque soir à minuit
On va pleurer, tous en chœur avec elle
C´est elle qui le veut ainsi
Mais tout au fond de la taverne
Une voix rugit
Quelqu´un éteint les lanternes
On n´entend plus qu´un cri
{au Refrain, ad lib}
Au lit les femmes, d´Amsterdam à Saint Malo
Dans une cave enfumée de Liverpool
Le piano joue des shimmys
Et la plupart des marins qui se soûlent
Chantent les airs avec lui
Un œil qui louche sur une bouteille
Quand l´autre est au paradis
Mais tout au fond de la taverne
Une voix rugit
Quelqu´un éteint les lanternes
On n´entend plus qu´un cri
{Refrain:}
Debout les hommes, c´est le chant du matelot
Au lit les femmes, d´Amsterdam à Saint Malo
Debout les hommes, quand arrive un bateau
Sur les quais, nos femmes et nos filles ont un air de Paimpolaises
Et dans les tripots de la ville, on boit à l´amour, à la mer
Dans les vapeurs, on voit monter sur scène
Une grande blonde aux yeux gris
Elle va chanter "Bonsoir Lili Marlène"
Comme chaque soir à minuit
On va pleurer, tous en chœur avec elle
C´est elle qui le veut ainsi
Mais tout au fond de la taverne
Une voix rugit
Quelqu´un éteint les lanternes
On n´entend plus qu´un cri
{au Refrain, ad lib}