C'est un pays
par Soldat Louis
lyricscopy.com
C´est un pays, fallait qu´j´t´en parle
Car j´l´ai dans l´coeur comme tu crois pas
Quand j´suis d´dans c´est pas normal
A croire que l´monde n´existe pas.
C´est pas fait pour les cons qui râlent
Après la pluie ou j´sais pas quoi
Moi j´l´aime mieux sous un ciel qui chiale
Balayé par un vent d´noroît.
Là-bas c´est la mer qui donne
Et qui reprend quand ça lui plaît
Et ce putain d´glas qui résonne
Quand elle a r´pris tout l´monde le sait.
Là-bas si c´est pas pour ta omme
On te le f´ra savoir vit´fait
Ils en ont vu passer des tonnes
De colons et voire même d´Anglais.
Et puis parfois toute la violence
Qui fait lever l´poing sur la place
qui rappelle qu´il y a méfiance
Après la langue on vise la race.
Qu´elle s´est pas trop gênée la France
Pour lui mettre les pieds dans la crasse
Des fois qu´l´idée d´indépedance
Ne laiss´rait pas vraiment de glace.
Car ça n´aime pas les conquérants
A la cupidité vénale
D´puis qu´une Duchesse encore enfant
S´est fait mettr´ d´une manière royale.
Sa liberté c´est l´océan
Qui la nuit va r´joindre les étoiles
Et sa terre qui a fait serment
D´être à jamais terre nationale.
C´est aux cris des oiseaux de mer
Quand il reviennent près du rivage
Que j´ai compris qu´il y a l´enfer
Mais qu´ça vaut toujours mieux qu´une cage.
Et même quand chaque jour est une guerre
Qui n´se lit que sur les visages
Ici on n´parle pas d´sa misère
Et encore moins de son courage.
Si j´en rajoute un peu, tant pis
Au début j´t´ai bien dit que j´l´aime
Dans tout c´merdier c´putain d´pays
M´tient plus chaud qu´la gonzesse que j´traîne.
J´ai pas fini d´l´ouvrir pour lui
Pour lui j´fil´rais même des chataîgnes
Au premier salaud qui l´détruit
Ou qui voudrait lui r´mettre des chaînes
Car j´l´ai dans l´coeur comme tu crois pas
Quand j´suis d´dans c´est pas normal
A croire que l´monde n´existe pas.
C´est pas fait pour les cons qui râlent
Après la pluie ou j´sais pas quoi
Moi j´l´aime mieux sous un ciel qui chiale
Balayé par un vent d´noroît.
Là-bas c´est la mer qui donne
Et qui reprend quand ça lui plaît
Et ce putain d´glas qui résonne
Quand elle a r´pris tout l´monde le sait.
Là-bas si c´est pas pour ta omme
On te le f´ra savoir vit´fait
Ils en ont vu passer des tonnes
De colons et voire même d´Anglais.
Et puis parfois toute la violence
Qui fait lever l´poing sur la place
qui rappelle qu´il y a méfiance
Après la langue on vise la race.
Qu´elle s´est pas trop gênée la France
Pour lui mettre les pieds dans la crasse
Des fois qu´l´idée d´indépedance
Ne laiss´rait pas vraiment de glace.
Car ça n´aime pas les conquérants
A la cupidité vénale
D´puis qu´une Duchesse encore enfant
S´est fait mettr´ d´une manière royale.
Sa liberté c´est l´océan
Qui la nuit va r´joindre les étoiles
Et sa terre qui a fait serment
D´être à jamais terre nationale.
C´est aux cris des oiseaux de mer
Quand il reviennent près du rivage
Que j´ai compris qu´il y a l´enfer
Mais qu´ça vaut toujours mieux qu´une cage.
Et même quand chaque jour est une guerre
Qui n´se lit que sur les visages
Ici on n´parle pas d´sa misère
Et encore moins de son courage.
Si j´en rajoute un peu, tant pis
Au début j´t´ai bien dit que j´l´aime
Dans tout c´merdier c´putain d´pays
M´tient plus chaud qu´la gonzesse que j´traîne.
J´ai pas fini d´l´ouvrir pour lui
Pour lui j´fil´rais même des chataîgnes
Au premier salaud qui l´détruit
Ou qui voudrait lui r´mettre des chaînes