Louanges
par Stephan Eicher
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Ces quelques mots avant le soir
Je ne voudrais pas partir trop tard
Cette fois c´est moi qui cherche une rime
Avec so long ou ciao bambina
Nous avons tenté l´impossible
Avons fouillé ce qui était vide
Dommage qu´on n´ait pas le cœur tendre
Car nous allions si bien ensemble
Mais je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
Et je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
La maison te paraîtra grande
Quand tu ne m´auras plus dans les jambes
Et tu verras ce n´est pas drôle
On se cogne toujours à des fantômes
N´avions pas besoin l´un de l´autre
Au point de nous passer nos fautes
Notre aventure arrive au bout
Le souffle court, le ventre mou
Mais je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
Oui je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
Le vent qui nous soulevait de terre
N´est plus qu´un simple courant d´air
Ni rage au cœur ni vague à l´âme
Rien à demander à sœur Anne
Suis arrivé en bas de page
Inutile d´en dire davantage
Chacun reprend sa couverture
Et son caillou dans sa chaussure
Mais je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
Je ne voudrais pas partir trop tard
Cette fois c´est moi qui cherche une rime
Avec so long ou ciao bambina
Nous avons tenté l´impossible
Avons fouillé ce qui était vide
Dommage qu´on n´ait pas le cœur tendre
Car nous allions si bien ensemble
Mais je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
Et je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
La maison te paraîtra grande
Quand tu ne m´auras plus dans les jambes
Et tu verras ce n´est pas drôle
On se cogne toujours à des fantômes
N´avions pas besoin l´un de l´autre
Au point de nous passer nos fautes
Notre aventure arrive au bout
Le souffle court, le ventre mou
Mais je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
Oui je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer
Le vent qui nous soulevait de terre
N´est plus qu´un simple courant d´air
Ni rage au cœur ni vague à l´âme
Rien à demander à sœur Anne
Suis arrivé en bas de page
Inutile d´en dire davantage
Chacun reprend sa couverture
Et son caillou dans sa chaussure
Mais je tiens
A louer
Tous nos vains efforts
Pour durer