Aubade du roi d'ys (vainement, ma bien aimée)
par Tino Rossi
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Puisqu´on ne peut fléchir ces jalouses gardiennes
Ah! Laissez-moi conter mes peines
Et mon émoi
Vainement, ma bien aimée
On croit me désespérer
Près de ta porte fermée
Je veux encore demeurer
Les soleils pourront s´éteindre
Les nuits remplacer les jours
Sans t´accuser et sans me plaindre
Là-haut, je resterai toujours
Toujours
Je le sais, ton âme est douce
Et l´heure bientôt viendra
Où la main qui me repousse
Vers la mienne se tendra
Ne sois pas trop tardive
A te laisser attendrir
Si Rozenn bientôt n´arrive
Je vais, hélas, mourir
Hélas, mourir
Ah! Laissez-moi conter mes peines
Et mon émoi
Vainement, ma bien aimée
On croit me désespérer
Près de ta porte fermée
Je veux encore demeurer
Les soleils pourront s´éteindre
Les nuits remplacer les jours
Sans t´accuser et sans me plaindre
Là-haut, je resterai toujours
Toujours
Je le sais, ton âme est douce
Et l´heure bientôt viendra
Où la main qui me repousse
Vers la mienne se tendra
Ne sois pas trop tardive
A te laisser attendrir
Si Rozenn bientôt n´arrive
Je vais, hélas, mourir
Hélas, mourir