Ne me méprise pas !
par Tino Rossi
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Depuis longtemps, je souffre, c´est terrible,
J´aurais voulu implorer ton pardon
Je t´ai trompée et cela c´est horrible
Car notre amour était pourtant profond
Si tu pouvais mesurer ma souffrance
Lire en mon cœur l´immense désespoir
Tu trouverais, malgré ta répugnance,
Toute la bienveillance
Pour me rendre l´espoir
Mais hélas, je pleurerai sans cesse
Maudissant ma stupide faiblesse
Dans le silence
Angoissant de mes nuits
Toujours je pense
A mon bonheur enfui
Par pitié, maîtrise ta colère
Et surtout redis-toi bien tout bas
Que je t´aimais et que j´étais sincère
Ne sois pas trop sévère,
Ne me méprise pas!
J´aurai toujours devant moi ton image
Comme autrefois, au temps de nos amours
Quand je couvrais de baisers ton visage
Ton front si pur et tes yeux de velours
Oui, je gravis mon pénible calvaire
Car j´ai brisé de par mes propres mains
Notre bonheur, notre joie de naguère
Pour un acte vulgaire
Qui fut sans lendemain!
Mais hélas, je pleurerai sans cesse
Maudissant ma stupide faiblesse
Car j´ai l´empreinte
De tes brûlants baisers
De ton étreinte
Qui savait me griser
Par pitié, maîtrise ta colère
Et surtout redis-toi bien tout bas
Que je t´aimais et que j´étais sincère
Ne sois pas trop sévère,
Ne me méprise pas!
J´aurais voulu implorer ton pardon
Je t´ai trompée et cela c´est horrible
Car notre amour était pourtant profond
Si tu pouvais mesurer ma souffrance
Lire en mon cœur l´immense désespoir
Tu trouverais, malgré ta répugnance,
Toute la bienveillance
Pour me rendre l´espoir
Mais hélas, je pleurerai sans cesse
Maudissant ma stupide faiblesse
Dans le silence
Angoissant de mes nuits
Toujours je pense
A mon bonheur enfui
Par pitié, maîtrise ta colère
Et surtout redis-toi bien tout bas
Que je t´aimais et que j´étais sincère
Ne sois pas trop sévère,
Ne me méprise pas!
J´aurai toujours devant moi ton image
Comme autrefois, au temps de nos amours
Quand je couvrais de baisers ton visage
Ton front si pur et tes yeux de velours
Oui, je gravis mon pénible calvaire
Car j´ai brisé de par mes propres mains
Notre bonheur, notre joie de naguère
Pour un acte vulgaire
Qui fut sans lendemain!
Mais hélas, je pleurerai sans cesse
Maudissant ma stupide faiblesse
Car j´ai l´empreinte
De tes brûlants baisers
De ton étreinte
Qui savait me griser
Par pitié, maîtrise ta colère
Et surtout redis-toi bien tout bas
Que je t´aimais et que j´étais sincère
Ne sois pas trop sévère,
Ne me méprise pas!