Et tout l'fourbi
par Vallez
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L´autre jour, après le service
En me promenant dans le bois de Meudon
Je vois une grosse nourrice
En train de dépoussiérer un bidon
Pristi, que je lui dis, la belle
Y en a de trop pour le petit
Je voudrais partager la gamelle
Et tout l´fourbi, ah ah ah
Et tout le fourbi
Je m´approche, quelle surprise!
Cette nourrice pleine de... séduction
C´est une argot, une payse
Voyez d´ici mon émotion
J´en deviens si pâle que j´en grelotte
C´était comme une danse Saint-Guy
Ça faisait trembler ma culotte
Et tout l´fourbi, ah ah ah ah
Et tout le fourbi
Tiens, qu´elle me dit, c´est vous, Antoine?
C´est moi, que je réponds, nonobstant
Elle était rouge comme une pivoine
Quand on s´assit conjointement
Pendant qui y a son poupon qui baille
Ma main gauche faisait kirikiki
Ma main droite pressait sa taille
Et tout l´fourbi, oh, oh, oh oui, alors
Et tout le fourbi
Pour lors, que j´avoue, faites aise
Posez votre mioche sans retard
Parce que le feu de ma tendresse
Y pourrait faire peur au moutard
Afin de me sentir plus leste
Je pose mon sabre et puis mon képi
Puis je déboutonne ma veste
Et tout l´fourbi, hé
Et tout le fourbi
Crac, le clairon sonne la retraite
Adieu, je remets mon ceinturon
Ma capote, et dessus de ma tête
J´enfonce mon... cré nom de nom!
Pendant cet entretien plein de charme
Le moutard assis sur mon képi
Avait laissé couler ses larmes
Et tout l´fourbi, oh, oh, oh le petit cochon!
Et tout l´fourbi
En me promenant dans le bois de Meudon
Je vois une grosse nourrice
En train de dépoussiérer un bidon
Pristi, que je lui dis, la belle
Y en a de trop pour le petit
Je voudrais partager la gamelle
Et tout l´fourbi, ah ah ah
Et tout le fourbi
Je m´approche, quelle surprise!
Cette nourrice pleine de... séduction
C´est une argot, une payse
Voyez d´ici mon émotion
J´en deviens si pâle que j´en grelotte
C´était comme une danse Saint-Guy
Ça faisait trembler ma culotte
Et tout l´fourbi, ah ah ah ah
Et tout le fourbi
Tiens, qu´elle me dit, c´est vous, Antoine?
C´est moi, que je réponds, nonobstant
Elle était rouge comme une pivoine
Quand on s´assit conjointement
Pendant qui y a son poupon qui baille
Ma main gauche faisait kirikiki
Ma main droite pressait sa taille
Et tout l´fourbi, oh, oh, oh oui, alors
Et tout le fourbi
Pour lors, que j´avoue, faites aise
Posez votre mioche sans retard
Parce que le feu de ma tendresse
Y pourrait faire peur au moutard
Afin de me sentir plus leste
Je pose mon sabre et puis mon képi
Puis je déboutonne ma veste
Et tout l´fourbi, hé
Et tout le fourbi
Crac, le clairon sonne la retraite
Adieu, je remets mon ceinturon
Ma capote, et dessus de ma tête
J´enfonce mon... cré nom de nom!
Pendant cet entretien plein de charme
Le moutard assis sur mon képi
Avait laissé couler ses larmes
Et tout l´fourbi, oh, oh, oh le petit cochon!
Et tout l´fourbi