Sumidagawa
par William Sheller
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J´aimais tant la lueur de ces nuits de neige
Quand les oiseaux de nord s´en allaient en cortège
Au dessus des brouillards où des roseaux d´ivoire
Dessinaient dans le soir de bien étranges pièges
La Sumidagawa
Je la traversais déjà
J´en garde comme un peu d´écume
J´en garde sur le dos
Toute la fraicheur des brumes
Au fond de ma mémoire
La dame de cœur du pavillon de lune
La dame de Iedo
Si c´est comme je présume
Ne viendra plus me voir
J´aimais tant la douceur des matins de fièvre
Les jours où l´on s´endort quand le soleil se lève
C´était si bon d´y croire, à toutes ces histoires
Qu´un merveilleux hasard déposait sur ses lèvres
La Sumidagawa
Je l´aie rêvée tant de fois
J´en garde comme un peu d´écume
J´en garde sur le dos
Toute la fraicheur des brumes
Au fond de ma mémoire
La dame de cœur du pavillon de lune
La dame de Iedo
Si c´est comme je présume
Ne viendra plus me voir
Quand les oiseaux de nord s´en allaient en cortège
Au dessus des brouillards où des roseaux d´ivoire
Dessinaient dans le soir de bien étranges pièges
La Sumidagawa
Je la traversais déjà
J´en garde comme un peu d´écume
J´en garde sur le dos
Toute la fraicheur des brumes
Au fond de ma mémoire
La dame de cœur du pavillon de lune
La dame de Iedo
Si c´est comme je présume
Ne viendra plus me voir
J´aimais tant la douceur des matins de fièvre
Les jours où l´on s´endort quand le soleil se lève
C´était si bon d´y croire, à toutes ces histoires
Qu´un merveilleux hasard déposait sur ses lèvres
La Sumidagawa
Je l´aie rêvée tant de fois
J´en garde comme un peu d´écume
J´en garde sur le dos
Toute la fraicheur des brumes
Au fond de ma mémoire
La dame de cœur du pavillon de lune
La dame de Iedo
Si c´est comme je présume
Ne viendra plus me voir