L'ombre et la proie
by Psykup
lyricscopy.com
Sans prendre la voie de la méfiance
Ils ont pris le parti de s´accoutumer
Aux gestes qui demandent qu´on y croie
Le parti de ceux qui ont tout oublié
Entassée, la masse, condensée
N´a plus que le choix de voir simplifié
Un monde en un geste, en un cri,
Quand parler tranquille devient trop compliqué
C´est le prix à payer à subir un monde en icônes,
alors paye
Seul Seul con Seul contre Seul contre tous
Déshérités - Comme un cri qu´on oublie
Déshérités - Isolés
Déshérités - C´est le prix à payer
Déshérités - A ne pas cautionner
Ton père? Fils de qui?
Je n´en sais rien
Croire en ce qu´il dit
Je n´en sais rien
Savoir qui subit
Je n´en sais rien
Ton père? Fils de qui?
Je n´en sais rien
Mais pas du tien
Fils de pute?
Car tu payes - Pour te vendre à moitié
Car tu prends - Pour la postérité
Car tu vends - Pour t´entendre aboyer
Car tu mens
Fils de chien
On t´entend aboyer, décrédibiliser
Ceux qui l´ont dans le corps Fils de rien
Mes mots ne servent à rien A rien
Le choix d´un monde, Un choix de vie
S´échouer comme une baleine morte
Qui est trop grosse pour qu´on la voie
Échoir comme le sens dans les textes
Tout est fun au final
C´est le prix à payer
A subir un monde en icônes
Un monde en pointillés
Sans sous-titres, sans le temps de peser
Pour relier les points, il faut se dessiner
Pour relier les points, Il faut se dessiner
Pour lever les poings, Il faut se résigner
C´est la grande époque du jeu
Du je, du moi je, du sur moi et du sur ferme ta gueule
Changer l´art à grands coups de casquettes à l´envers
Changer la télé à grands coups de décolletés
Et de punks coiffés au gel
Changer l´esthétique à grands coups de santiags
et de tatouages d´indiens
A quoi bon changer?
Il y en a bien qui profitent alors...
Il suffit juste d´être du bon côté
Que du bonheur...
Il faut se résigner
Cette vie n´est pas la tienne
Le voir est un problème
Cet art n´est pas la fête
En vivre est un problème
Cette vie n´est pas la tienne
Le voir est un problème
Cet art n´est pas la fête
La mort est sans problème.
Problème -
Solution -
Relier
les poings.
Ils ont pris le parti de s´accoutumer
Aux gestes qui demandent qu´on y croie
Le parti de ceux qui ont tout oublié
Entassée, la masse, condensée
N´a plus que le choix de voir simplifié
Un monde en un geste, en un cri,
Quand parler tranquille devient trop compliqué
C´est le prix à payer à subir un monde en icônes,
alors paye
Seul Seul con Seul contre Seul contre tous
Déshérités - Comme un cri qu´on oublie
Déshérités - Isolés
Déshérités - C´est le prix à payer
Déshérités - A ne pas cautionner
Ton père? Fils de qui?
Je n´en sais rien
Croire en ce qu´il dit
Je n´en sais rien
Savoir qui subit
Je n´en sais rien
Ton père? Fils de qui?
Je n´en sais rien
Mais pas du tien
Fils de pute?
Car tu payes - Pour te vendre à moitié
Car tu prends - Pour la postérité
Car tu vends - Pour t´entendre aboyer
Car tu mens
Fils de chien
On t´entend aboyer, décrédibiliser
Ceux qui l´ont dans le corps Fils de rien
Mes mots ne servent à rien A rien
Le choix d´un monde, Un choix de vie
S´échouer comme une baleine morte
Qui est trop grosse pour qu´on la voie
Échoir comme le sens dans les textes
Tout est fun au final
C´est le prix à payer
A subir un monde en icônes
Un monde en pointillés
Sans sous-titres, sans le temps de peser
Pour relier les points, il faut se dessiner
Pour relier les points, Il faut se dessiner
Pour lever les poings, Il faut se résigner
C´est la grande époque du jeu
Du je, du moi je, du sur moi et du sur ferme ta gueule
Changer l´art à grands coups de casquettes à l´envers
Changer la télé à grands coups de décolletés
Et de punks coiffés au gel
Changer l´esthétique à grands coups de santiags
et de tatouages d´indiens
A quoi bon changer?
Il y en a bien qui profitent alors...
Il suffit juste d´être du bon côté
Que du bonheur...
Il faut se résigner
Cette vie n´est pas la tienne
Le voir est un problème
Cet art n´est pas la fête
En vivre est un problème
Cette vie n´est pas la tienne
Le voir est un problème
Cet art n´est pas la fête
La mort est sans problème.
Problème -
Solution -
Relier
les poings.