Banal drame
par Chtriky
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Dans le silence épais d´une chambre endormie
Deux grands yeux, soudain, s´ouvrent au milieu de la nuit
Et la machine redémarre
Le sang circule, c´est sûr
C´ n´est même pas la fin d´un cauchemar
Juste un réveil contre nature
Braqués sur les motifs d´un papier peint jauni
Deux vieux yeux s´habituent aux couleurs de la nuit
Repos conjugal et tranquille
D´un couple fatigué
L´une dort et l´autre distille
Les fruits d´ ses quatre-vingt balais
Il songe à celle, allongée dans son lit
À leur amour qui joue la montre
Se dit qu´elle est à l´aune de sa vie
La plus belle flamme de ses incendies
Perdu dans le désert d´une insomnie de juillet
L´homme aligne à présent les images du passé
Au milieu des rides, un sourire
Une moue contrariée
Ça carambole du souvenir
De la vie comme s´il en pleuvait
Grisé par l´émotion de ce grand défilé
L´homme considère le corps de sa femme à côté
Ces formes aux mille sensations
Fourbues d´anniversaires
Ce terrain d´hallucinations
A su garder tous ses mystères
Il songe à celle, allongée dans son lit
À leur amour qui joue la montre
Se dit qu´elle est la lumière de sa vie
La plus belle flamme de ses incendies {x2}
Un air froid plane et passe l´idée d´un drame imminent
Et le silence fait place au vacarme du néant
Comme un nom qui manque à l´appel
Un souffle a disparu
Une âme a déplié ses ailes
A suivi la froide inconnue
Il secoue celle allongée pour la vie
Et leur amour alors, qui jouait la montre!
Puis verse des larmes, des larmes et des larmes
Sur la plus belle flamme de ses incendies {x5}
Deux grands yeux, soudain, s´ouvrent au milieu de la nuit
Et la machine redémarre
Le sang circule, c´est sûr
C´ n´est même pas la fin d´un cauchemar
Juste un réveil contre nature
Braqués sur les motifs d´un papier peint jauni
Deux vieux yeux s´habituent aux couleurs de la nuit
Repos conjugal et tranquille
D´un couple fatigué
L´une dort et l´autre distille
Les fruits d´ ses quatre-vingt balais
Il songe à celle, allongée dans son lit
À leur amour qui joue la montre
Se dit qu´elle est à l´aune de sa vie
La plus belle flamme de ses incendies
Perdu dans le désert d´une insomnie de juillet
L´homme aligne à présent les images du passé
Au milieu des rides, un sourire
Une moue contrariée
Ça carambole du souvenir
De la vie comme s´il en pleuvait
Grisé par l´émotion de ce grand défilé
L´homme considère le corps de sa femme à côté
Ces formes aux mille sensations
Fourbues d´anniversaires
Ce terrain d´hallucinations
A su garder tous ses mystères
Il songe à celle, allongée dans son lit
À leur amour qui joue la montre
Se dit qu´elle est la lumière de sa vie
La plus belle flamme de ses incendies {x2}
Un air froid plane et passe l´idée d´un drame imminent
Et le silence fait place au vacarme du néant
Comme un nom qui manque à l´appel
Un souffle a disparu
Une âme a déplié ses ailes
A suivi la froide inconnue
Il secoue celle allongée pour la vie
Et leur amour alors, qui jouait la montre!
Puis verse des larmes, des larmes et des larmes
Sur la plus belle flamme de ses incendies {x5}