L'ogresse
par Claire Lise
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C´est elle l´ogresse
Ses yeux sont tout petits pour connaître la beauté
Faudrait qu´elle puisse s´en approcher, presque la tâter
Elle apprécierait bien c´est sûr
Le regard d´un homme un dur
Frémir sous un souffle divin
Se laisser mater enfin
Mais c´est elle l´ogresse
Elle a de grandes oreilles pour entendre les bassesses
Des gens qui passent qu´ont jamais rien vu de pareil
Elle apprécierait bien entendre c´est sûr
Les mots d´un tendre un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisse sourire enfin
Mais la vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
C´est elle l´ogresse
Elle n´a pas un beau nez les seules odeurs de fesses
Qu´elle sait sont celles de ses chats, ses bébés
Elle apprécierait bien c´est sûr
L´odeur d´un mâle puant, un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisser renifler enfin
Mais la vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
C´est elle l´ogresse
Son souffle est enragé, elle mange comme ses chatons
Elle a du mal a digérer elle est brassée
Elle apprécierait bien c´est sûr
Goûter la bouche d´un tendre, d´un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisser manger enfin
C´est elle l´ogresse
Elle a de jolies mains et quand elle se caresse
Et quand elle se caresse elle commence toujours, toujours par les seins
Elle apprécierait bien c´est sûr
Les longs doigts d´un homme, un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisser toucher enfin
Mais la vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
La vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
La vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche
C´est elle l´ogresse
Elle a de jolies mains et quand elle se caresse
Et quand elle se caresse elle commence toujours, toujours par les seins
Ses yeux sont tout petits pour connaître la beauté
Faudrait qu´elle puisse s´en approcher, presque la tâter
Elle apprécierait bien c´est sûr
Le regard d´un homme un dur
Frémir sous un souffle divin
Se laisser mater enfin
Mais c´est elle l´ogresse
Elle a de grandes oreilles pour entendre les bassesses
Des gens qui passent qu´ont jamais rien vu de pareil
Elle apprécierait bien entendre c´est sûr
Les mots d´un tendre un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisse sourire enfin
Mais la vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
C´est elle l´ogresse
Elle n´a pas un beau nez les seules odeurs de fesses
Qu´elle sait sont celles de ses chats, ses bébés
Elle apprécierait bien c´est sûr
L´odeur d´un mâle puant, un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisser renifler enfin
Mais la vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
C´est elle l´ogresse
Son souffle est enragé, elle mange comme ses chatons
Elle a du mal a digérer elle est brassée
Elle apprécierait bien c´est sûr
Goûter la bouche d´un tendre, d´un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisser manger enfin
C´est elle l´ogresse
Elle a de jolies mains et quand elle se caresse
Et quand elle se caresse elle commence toujours, toujours par les seins
Elle apprécierait bien c´est sûr
Les longs doigts d´un homme, un mûre
Frémir sous un souffle divin
Se laisser toucher enfin
Mais la vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
La vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche comme elle
La vie de l´ogresse est triste comme elle
La vie de l´ogresse est moche
C´est elle l´ogresse
Elle a de jolies mains et quand elle se caresse
Et quand elle se caresse elle commence toujours, toujours par les seins