L'île de pâques
par Guy Skornik
lyricscopy.com
Des violons s´accordaient sur des pianos de pierre
L´île de Pâques abritait des hommes bien trop fiers
Leur sang n´était pas bleu mais noir comme la mer
Ils avaient fait le feu, ils avaient fait la guerre
Leur héros statufiés pesaient plus de dix tonnes
Mais combien sur cette île y avait-il donc d´hommes?
Mais que se passait-il dans leurs mains, dans leur âme?
Qu´à travers l´avenir leurs forces se proclament
Ils étaient grands de taille, avaient des sanctuaires
Et des divinités dignes de Jupiter
Leur dévoilaient la vie, réalité, chimères
Leur disaient l´avenir, l´approche d´une autre ère
Ils étaient fils de dieux ou étaient grands ancêtres
Ils s´appelaient Titans et connaissaient peut-être
La science de la magie et la magie des sciences
Avant que ne leur soit imposé le silence
Ils construisirent des tours et de grands astronefs
Pour attaquer celui qui leur servait de chef
Et qui leur commandait un terrible retour
A eux qui sur la Terre avaient construit le jour
Quand ils eurent dépassé les brumes de l´éther
A des pavés de feu, soudain, ils se heurtèrent
Et Dieu pour les punir de leur rebellion
Leur dicta le Tartare pour éternelle prison
L´île de Pâques abritait des hommes bien trop fiers
Leur sang n´était pas bleu mais noir comme la mer
Ils avaient fait le feu, ils avaient fait la guerre
Leur héros statufiés pesaient plus de dix tonnes
Mais combien sur cette île y avait-il donc d´hommes?
Mais que se passait-il dans leurs mains, dans leur âme?
Qu´à travers l´avenir leurs forces se proclament
Ils étaient grands de taille, avaient des sanctuaires
Et des divinités dignes de Jupiter
Leur dévoilaient la vie, réalité, chimères
Leur disaient l´avenir, l´approche d´une autre ère
Ils étaient fils de dieux ou étaient grands ancêtres
Ils s´appelaient Titans et connaissaient peut-être
La science de la magie et la magie des sciences
Avant que ne leur soit imposé le silence
Ils construisirent des tours et de grands astronefs
Pour attaquer celui qui leur servait de chef
Et qui leur commandait un terrible retour
A eux qui sur la Terre avaient construit le jour
Quand ils eurent dépassé les brumes de l´éther
A des pavés de feu, soudain, ils se heurtèrent
Et Dieu pour les punir de leur rebellion
Leur dicta le Tartare pour éternelle prison