Chiens perdus sans collier
par Jacqueline François
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Petit garçon perdu
S´en allait tout le long des rues
A chaque instant, le vent
Lui prenait une larme en passant
Les amoureux s´aimaient
Et, dans l´ombre où les cœurs battaient,
Petit garçon de la nuit
S´endormit sous un pont de Paris
Dans ses rêves, se promenaient
Des chiens perdus sans leur collier
Et puis... et puis...
Sur son chemin, là-bas
Un visage inondé de joie
Et le sourire ému
D´un amour qu´il n´a jamais connu
P´tit gars, que fais-tu là?
Dit une voix qui l´éveilla,
Aide-moi à finir ça
Je n´y arrive pas, c´est trop pour moi
Ce n´était qu´un clochard
Et son pain quotidien
Qu´il offrait au gamin
Qui lui donna la main
Petit garçon perdu
S´en allait tout le long des rues
A chaque instant, le vent
Lui donnait un sourire en passant
Il écoutait sans fin
Les histoires de son vieux copain
En oubliant la vie et les larmes
Et les ponts de la nuit
P´tits bonhommes, on vous croirait
Des chiens perdus sans leur collier
Oh oui... Oh oui...
Mais ils n´étaient pas deux
Ils étaient des milliers comme eux
Qui attendaient le jour
Où viendrait le soleil de l´amour
S´en allait tout le long des rues
A chaque instant, le vent
Lui prenait une larme en passant
Les amoureux s´aimaient
Et, dans l´ombre où les cœurs battaient,
Petit garçon de la nuit
S´endormit sous un pont de Paris
Dans ses rêves, se promenaient
Des chiens perdus sans leur collier
Et puis... et puis...
Sur son chemin, là-bas
Un visage inondé de joie
Et le sourire ému
D´un amour qu´il n´a jamais connu
P´tit gars, que fais-tu là?
Dit une voix qui l´éveilla,
Aide-moi à finir ça
Je n´y arrive pas, c´est trop pour moi
Ce n´était qu´un clochard
Et son pain quotidien
Qu´il offrait au gamin
Qui lui donna la main
Petit garçon perdu
S´en allait tout le long des rues
A chaque instant, le vent
Lui donnait un sourire en passant
Il écoutait sans fin
Les histoires de son vieux copain
En oubliant la vie et les larmes
Et les ponts de la nuit
P´tits bonhommes, on vous croirait
Des chiens perdus sans leur collier
Oh oui... Oh oui...
Mais ils n´étaient pas deux
Ils étaient des milliers comme eux
Qui attendaient le jour
Où viendrait le soleil de l´amour