Terre promise respect perdu
par Lady Hayet
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Il voulait grimper jusqu´au ciel
Pour toucher les ailes des oiseaux
Il veut montrer ce qu´il vaut, déjouer le sort et la vie de l´autre
C´est comme une histoire où il a conté ses déboires
Si un jour j´avais goûtée, au fruit de la liberté
Peut-être que mon coeur m´appartiendrait
Toutes ces couleurs qui me font peur
Toute cette détresse qui anime ma colére
Le goût est si amére
Qu´est devenu notre Terre
En ne pensant qu´à nous
En ne se souciant de rien
Les cauchemars sont dissimulés
Sous les merveilles promises adulés
Un homme m´a di une foi, de ne pas perdre ma foi
Je leur rendrai ce qu´il m´ont donné mais qu´il n´opprime pas ma fierté
Ce ciel si bleu sans nuage mais mon coeur est plein d´orage
Voyez la noirceur de leur coeur
Ils ne souhaitent que le malheur
Cette idée qui me laisse froide et figée m´empoisonne!
Le goût est si amére
Qu´est devenu notre Terre
En ne pensant qu´à nous
En ne se souciant de rien
Celui qui voulait grimper jusqu´au ciel
Pour toucher les ailes des oiseaux
N´a jamais pu montrer ce qu´il vaut, déjouer le sort et la vie de l´autre
C´set comme une histoire où il a conté ses déboires
Toutes ces couleurs qui m´ont fait peur ne sont plus que de vieux malheur
Pour toucher les ailes des oiseaux
Il veut montrer ce qu´il vaut, déjouer le sort et la vie de l´autre
C´est comme une histoire où il a conté ses déboires
Si un jour j´avais goûtée, au fruit de la liberté
Peut-être que mon coeur m´appartiendrait
Toutes ces couleurs qui me font peur
Toute cette détresse qui anime ma colére
Le goût est si amére
Qu´est devenu notre Terre
En ne pensant qu´à nous
En ne se souciant de rien
Les cauchemars sont dissimulés
Sous les merveilles promises adulés
Un homme m´a di une foi, de ne pas perdre ma foi
Je leur rendrai ce qu´il m´ont donné mais qu´il n´opprime pas ma fierté
Ce ciel si bleu sans nuage mais mon coeur est plein d´orage
Voyez la noirceur de leur coeur
Ils ne souhaitent que le malheur
Cette idée qui me laisse froide et figée m´empoisonne!
Le goût est si amére
Qu´est devenu notre Terre
En ne pensant qu´à nous
En ne se souciant de rien
Celui qui voulait grimper jusqu´au ciel
Pour toucher les ailes des oiseaux
N´a jamais pu montrer ce qu´il vaut, déjouer le sort et la vie de l´autre
C´set comme une histoire où il a conté ses déboires
Toutes ces couleurs qui m´ont fait peur ne sont plus que de vieux malheur