Du sable
par Lorne Greene
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Ils bravèrent toute la nature, ces hommes de l´Ouest!
Les montagnes, les prairies, les fleuves!
Voici l´histoire d´un prospecteur
Qui affronta le pire de tout le désert!
Quand je devins chercheur d´or
Une bohémienne me lit mon sort
Dans ses cartes, sur la table
Alors, dis-je, Qu´est-ce que tu prédis?
Les seuls mots qu´elle me répondit :
Du sable
Riant, je repris mon chemin
Il conduisait à des terrains
Désertés des dieux, inhabitables
Sûrement de l´or dans ces vallons
Derrière ce petit horizon
De sable
Chérie, attends bientôt mon retour
Le vallon et l´or qu´il recèle
Sont là, tout proches sous l´arc-en-ciel
Ma mule est morte, y a pas longtemps
Je n´ai plus d´eau, mes pas sont lents
Et le vallon recule, insaisissable
Pas âme qui vive, je suis damné
Seul un trou d´eau empoisonné
Du sable
Mes yeux voient mal de jour en jour
Et les mirages me jouent des tours
Est-ce toi, chérie, qui surviens, secourable?
Mon bras se tend, mes doigts se crispent
Mais, oh mon Dieu! Ce que j´agrippe
Du sable
Adieu, chérie, faut plus m´attendre
Ma vie est tout près de finir
L´arc-en-ciel va cesser de luire
L´or, là-bas, sera pour d´autres
J´ai saisi seulement
Friable, du sable
Sans limite
Brûlant
Le sable
Les montagnes, les prairies, les fleuves!
Voici l´histoire d´un prospecteur
Qui affronta le pire de tout le désert!
Quand je devins chercheur d´or
Une bohémienne me lit mon sort
Dans ses cartes, sur la table
Alors, dis-je, Qu´est-ce que tu prédis?
Les seuls mots qu´elle me répondit :
Du sable
Riant, je repris mon chemin
Il conduisait à des terrains
Désertés des dieux, inhabitables
Sûrement de l´or dans ces vallons
Derrière ce petit horizon
De sable
Chérie, attends bientôt mon retour
Le vallon et l´or qu´il recèle
Sont là, tout proches sous l´arc-en-ciel
Ma mule est morte, y a pas longtemps
Je n´ai plus d´eau, mes pas sont lents
Et le vallon recule, insaisissable
Pas âme qui vive, je suis damné
Seul un trou d´eau empoisonné
Du sable
Mes yeux voient mal de jour en jour
Et les mirages me jouent des tours
Est-ce toi, chérie, qui surviens, secourable?
Mon bras se tend, mes doigts se crispent
Mais, oh mon Dieu! Ce que j´agrippe
Du sable
Adieu, chérie, faut plus m´attendre
Ma vie est tout près de finir
L´arc-en-ciel va cesser de luire
L´or, là-bas, sera pour d´autres
J´ai saisi seulement
Friable, du sable
Sans limite
Brûlant
Le sable