Dans la salle du bar tabac de la rue des martyrs
par Pigalle
lyricscopy.com
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Y a des filles de nuit qu´attendent le jour en vendant du plaisir
Y a des ivrognes qui s´épanchent au bar
Qui glissent lentement le long du comptoir
Par terre
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Le patron a un flingue pour l´ingénu qu´en voudrait à la tirelire
Dans les chiottes les mots gravés sur les murs
Parlent de sexes géants d´amour et d´ordures
Ensemble
Ici chacun douc´ment oublie l´ombre
D´une vie passée, d´une femme, de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l´oubli d´un parfum d´une voix
On éteint l´impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Certains soirs tout à coup dans un coin on s´arrête de rire
Et quand brusquement les lames sortent
Tout l´monde dégage, se jette sur la porte
En verre
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Y a des seringues vidées goulûment dans des bras sans av´nir
Ici la dope c´est à la poignée
Les p´tites cuillères servent que rar´ment
Pour le café
Ici chacun douc´ment oublie l´ombre
D´une vie passée, d´une femme, de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l´oubli d´un parfum d´une voix
On éteint l´impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Y a des vieux gars tatoués partout qui racontent leurs souvenirs
Y a des voyageurs tristes pardessus et valises
Y a des bookmakers qui ramassent les mises
La nuit
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
On peut tout ach´ter, tout vendre, le meilleur et le pire
Une vieille clocharde la gueule défoncée
Rentre avec sa poussette et se met à gueuler :
"A boire!"
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs {x3}
Y a des filles de nuit qu´attendent le jour en vendant du plaisir
Y a des ivrognes qui s´épanchent au bar
Qui glissent lentement le long du comptoir
Par terre
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Le patron a un flingue pour l´ingénu qu´en voudrait à la tirelire
Dans les chiottes les mots gravés sur les murs
Parlent de sexes géants d´amour et d´ordures
Ensemble
Ici chacun douc´ment oublie l´ombre
D´une vie passée, d´une femme, de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l´oubli d´un parfum d´une voix
On éteint l´impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Certains soirs tout à coup dans un coin on s´arrête de rire
Et quand brusquement les lames sortent
Tout l´monde dégage, se jette sur la porte
En verre
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Y a des seringues vidées goulûment dans des bras sans av´nir
Ici la dope c´est à la poignée
Les p´tites cuillères servent que rar´ment
Pour le café
Ici chacun douc´ment oublie l´ombre
D´une vie passée, d´une femme, de décombres
Dans ce cliché funèbre on cherche l´oubli d´un parfum d´une voix
On éteint l´impact encore brûlant de lèvres entrouvertes humides et douces
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
Y a des vieux gars tatoués partout qui racontent leurs souvenirs
Y a des voyageurs tristes pardessus et valises
Y a des bookmakers qui ramassent les mises
La nuit
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs
On peut tout ach´ter, tout vendre, le meilleur et le pire
Une vieille clocharde la gueule défoncée
Rentre avec sa poussette et se met à gueuler :
"A boire!"
Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs {x3}