A mobylette
par Ducky Smokton
lyricscopy.com
Quand on partait tard le matin
Quand on prenait l´ périph´ urbain
A mobylette
Nous étions quelques bons copains
Y avait Bernard, y avait Philippe
Y avait Tonio, y avait Braïm
Et puis Babette
On en pinçait tous pour elle
En voyant flotter ses dentelles
A mobylette
Après plusieurs canettes de bière
On a souvent connu l´enfer
Pour ne pas s´écrouler par terre
Devant Babette
Faut dire qu´elle y mettait du cœur
Petite fille de cambrioleur
A mobylette
Et depuis qu´elle avait huit ans
Elle avait fait en se vantant
Tout les tapins environnant
A mobylette
En approchant des HLM
On oubliait dans les poubelles
Nos mobylettes
Et puis on fumait dans les caves
D´où s´ dégageait une odeur suave
De vieilles ordures, de décongelures
Et d´anisette
Et le soleil à l´horizon
Qui profilait sur le béton
Nos silhouettes
On revenait nazes et contents
Le cœur un peu vague pourtant
De n´être pas assez souvent
Contre Babette
Prendre furtivement son pied
Oublier qu´on avait tiré
Nos mobylettes
On se disait : "C´est pour demain
J´oserai, j´oserai demain"
Puis on r´prendra l´ périph´ urbain
A mobylette
Quand on prenait l´ périph´ urbain
A mobylette
Nous étions quelques bons copains
Y avait Bernard, y avait Philippe
Y avait Tonio, y avait Braïm
Et puis Babette
On en pinçait tous pour elle
En voyant flotter ses dentelles
A mobylette
Après plusieurs canettes de bière
On a souvent connu l´enfer
Pour ne pas s´écrouler par terre
Devant Babette
Faut dire qu´elle y mettait du cœur
Petite fille de cambrioleur
A mobylette
Et depuis qu´elle avait huit ans
Elle avait fait en se vantant
Tout les tapins environnant
A mobylette
En approchant des HLM
On oubliait dans les poubelles
Nos mobylettes
Et puis on fumait dans les caves
D´où s´ dégageait une odeur suave
De vieilles ordures, de décongelures
Et d´anisette
Et le soleil à l´horizon
Qui profilait sur le béton
Nos silhouettes
On revenait nazes et contents
Le cœur un peu vague pourtant
De n´être pas assez souvent
Contre Babette
Prendre furtivement son pied
Oublier qu´on avait tiré
Nos mobylettes
On se disait : "C´est pour demain
J´oserai, j´oserai demain"
Puis on r´prendra l´ périph´ urbain
A mobylette