Quand on parlait de l'un, on vous parlait de l'autre
par Pascal Auriat
lyricscopy.com
Quand on parlait de l´un, on vous parlait de l´autre
Ce n´est que leur histoire, qu´on aimerait la nôtre
L´histoire de deux ruisseaux formant une rivière
Et qui roule ses eaux dessous un grand ciel clair
Elle chantait, il peignait leur unique voyage
Ils créaient à eux deux de nouveaux paysages
Tableaux portant le nom de la félicité
Dont ils nous permettaient un peu de profiter
Leur maison familière avait cette douceur
Qu´enfant, près de sa mère, on appelle «bonheur»
Là on y comprenait les soirs, enfin calmés
La musique muette de la réalité
Avec le temps qui passe, le temps et puis ses fêtes
Elle avait une voix doucement satisfaite
Un rien mélancolique, à regarder le temps
Il lui serrait la main, défendant leur printemps
Une guerre et la vie passée en temps de paix
Avec cette tendresse où jamais les regrets
N´entament le miracle que devrait être vivre
Que parfois les poètes appellent «joie de vivre»
Quand on parlait de l´un, on vous parlait de l´autre
Ce n´est que leur histoire, qu´on aimerait la nôtre
L´histoire de deux ruisseaux formant une rivière
Et qui roule ses eaux dessous un grand ciel clair
Quand on parlait de l´un... On vous parlait de l´autre...
Quand on parlait de l´un... On vous parlait de l´autre...
Ce n´est que leur histoire, qu´on aimerait la nôtre
L´histoire de deux ruisseaux formant une rivière
Et qui roule ses eaux dessous un grand ciel clair
Elle chantait, il peignait leur unique voyage
Ils créaient à eux deux de nouveaux paysages
Tableaux portant le nom de la félicité
Dont ils nous permettaient un peu de profiter
Leur maison familière avait cette douceur
Qu´enfant, près de sa mère, on appelle «bonheur»
Là on y comprenait les soirs, enfin calmés
La musique muette de la réalité
Avec le temps qui passe, le temps et puis ses fêtes
Elle avait une voix doucement satisfaite
Un rien mélancolique, à regarder le temps
Il lui serrait la main, défendant leur printemps
Une guerre et la vie passée en temps de paix
Avec cette tendresse où jamais les regrets
N´entament le miracle que devrait être vivre
Que parfois les poètes appellent «joie de vivre»
Quand on parlait de l´un, on vous parlait de l´autre
Ce n´est que leur histoire, qu´on aimerait la nôtre
L´histoire de deux ruisseaux formant une rivière
Et qui roule ses eaux dessous un grand ciel clair
Quand on parlait de l´un... On vous parlait de l´autre...
Quand on parlait de l´un... On vous parlait de l´autre...